Dans le bleu foncé, l'heure de minuit où les yeux se ferment
Le soleil ambré, s'accrochant au dernier jour de l’été
À la seconde près, juste avant que le réveil ne sonne
On tient le temps dans nos mains comme du sable qui coule
On se débrouille avec le temps qui passe à toute vitesse, même si à peine
On joue avec le temps, persuadés qu’on est son maître
Il nous rend la pareille
Qu'est-ce qu’on attend, ce à quoi on aspire ?
Pourquoi est-ce quelque chose que les cœurs désirent ?
Sautant d'un moment à l'autre, il semble toujours qu’on manque
De petits moments où le temps nous appartient
En rouge brûlant, le temps s'étire avec un regard déjà vu
Sûr dans une étreinte, gelés sauf pour les cœurs qui rythment
Alors qu’on court une année-lumière en une milliseconde, on ouvre les yeux
On découvre où se trouve l'éternité
On se débrouille avec le temps qui passe à toute vitesse, sans défense
On roule avec le temps comme ses passagers éphémères
Il nous tient captifs et nous rend libres
Qu'est-ce qu’on attend, ce à quoi on aspire ?
Pourquoi est-ce quelque chose que les cœurs désirent ?
Sautant d'un moment à l'autre, il semble toujours qu’on manque
De petits moments où le temps nous appartient
Alors prends le temps, prends cette main
Chevauche le voyage de la vie jusqu'à la fin
Les joies, les espoirs, les peines de cœur, les tristesses
On fera avec le temps qui nous est prêté
Qu'est-ce qu’on attend, ce à quoi on aspire ?
Pourquoi est-ce quelque chose que les cœurs désirent ?
Sautant d'un moment à l'autre, il semble toujours qu’on espère
De petits moments où le temps nous appartient
Dans le bleu foncé, l'heure de minuit où les yeux se ferment
Le soleil ambré, s'accrochant au dernier jour de l’été
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est-ce que quelqu'un veut mettre de la musique sur mes paroles ? contactez-moi !
(je ne plaisante qu'à moitié)
Le soleil ambré, s'accrochant au dernier jour de l’été
À la seconde près, juste avant que le réveil ne sonne
On tient le temps dans nos mains comme du sable qui coule
On se débrouille avec le temps qui passe à toute vitesse, même si à peine
On joue avec le temps, persuadés qu’on est son maître
Il nous rend la pareille
Qu'est-ce qu’on attend, ce à quoi on aspire ?
Pourquoi est-ce quelque chose que les cœurs désirent ?
Sautant d'un moment à l'autre, il semble toujours qu’on manque
De petits moments où le temps nous appartient
En rouge brûlant, le temps s'étire avec un regard déjà vu
Sûr dans une étreinte, gelés sauf pour les cœurs qui rythment
Alors qu’on court une année-lumière en une milliseconde, on ouvre les yeux
On découvre où se trouve l'éternité
On se débrouille avec le temps qui passe à toute vitesse, sans défense
On roule avec le temps comme ses passagers éphémères
Il nous tient captifs et nous rend libres
Qu'est-ce qu’on attend, ce à quoi on aspire ?
Pourquoi est-ce quelque chose que les cœurs désirent ?
Sautant d'un moment à l'autre, il semble toujours qu’on manque
De petits moments où le temps nous appartient
Alors prends le temps, prends cette main
Chevauche le voyage de la vie jusqu'à la fin
Les joies, les espoirs, les peines de cœur, les tristesses
On fera avec le temps qui nous est prêté
Qu'est-ce qu’on attend, ce à quoi on aspire ?
Pourquoi est-ce quelque chose que les cœurs désirent ?
Sautant d'un moment à l'autre, il semble toujours qu’on espère
De petits moments où le temps nous appartient
Dans le bleu foncé, l'heure de minuit où les yeux se ferment
Le soleil ambré, s'accrochant au dernier jour de l’été
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(je ne plaisante qu'à moitié)